"Là, ils étaient tout simplement meilleurs" : pour le Standard, le positif est à chercher...chez l'entraîneur adverse

"Là, ils étaient tout simplement meilleurs" : pour le Standard, le positif est à chercher...chez l'entraîneur adverse

Le Standard a replongé dans le marasme en s'inclinant à Westerlo. La première mi-temps n'était pourtant pas à jeter.

L'accueil des supporters réservés au joueur à la fin du match l'illustre bien : difficile de retenir du positif à l'issue de la défaite du Standard sur le terrain de Westerlo. Si les Rouches veulent se convaincre que la prestation d'ensemble n'était pas catastrophique, ce n'est pas vers Ivan Leko, plus vindicatif que jamais, qu'il faut se tourner, mais bien vers l'entraîneur adverse.

En conférence de presse, Rik De Mil a reconnu la supériorité des Liégeois en première mi-temps : "Le Standard était la meilleure équipe lors du premier acte. Nous avons bien commencé, mais cela n'a duré plus que cinq ou dix minutes. Après, nous n'avons pas trouvé le moyen de mettre la pression sur le Standard. Là, ils étaient simplement meilleurs avec le ballon. Heureusement, l'organisation derrière était stable et nous n'avons pas concédé grand-chose" déclare-t-il, dans des propos relayés par la Gazet van Antwerpen. 

Mais tout a changé au repos : "Pendant cette pause, nous avons fait quelques ajustements. J’ai revu une équipe jouer au football comme je voudrais la voir : plus agressive, plus de pression sur l’adversaire et plus dominante". C'est alors que le Standard a rapidement baissé pavillon. Le travail d'Ivan Leko passera également par les ajustements en cours de match.

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