Attaqué par les supporters du Standard, il répond : "Non, nous ne sommes pas des complices de 777"

Attaqué par les supporters du Standard, il répond : "Non, nous ne sommes pas des complices de 777"
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Jean-Michel Javaux n'a pas été épargné par les supporters du Standard ces dernières semaines. Il leur a répondu sur ses réseaux sociaux.

Epinglé par les supporters du Standard pour son inaction apparente face à la situation catastrophique dans laquelle se trouve le club, Jean-Michel Javaux est sorti du bois. Sur son compte Facebook, il est revenu sur son bilan et a également défendu Pierre Locht, lui aussi remis en cause.

"Rejoindre le Conseil d'Administration de son club de coeur est un défi affectif. Peut-être pas toujours rationnel. Je précise que le mandat était totalement bénévole, sans aucun défraiement. J’étais administrateur indépendant et j’ai essayé de remplir ces missions du mieux que j’ai pu ces 2 dernières années, le CEO, le CFO et les équipes en place réalisant souvent des miracles avec les moyens qu’ils recevaient, souvent sur le gong, parfois un peu après". 

Des signaux d'alerte inquiétants

Le Bourgmestre d'Amay l'affirme, il n'est pas resté silencieux face aux agissements de 777, pas plus que Pierre Locht : "Non, nous ne sommes pas les complices de 777 Partners. Depuis de nombreux mois, nous tirons les sonnettes d’alarme sur le manque d’informations sur le projet sportif à court et moyen terme, sur la situation financière de l’actionnaire principal et du groupe faîtier et l’absence physique au stade des principaux actionnaires, notamment".

Jean-Michel Javaux confie avoir voulu passer à l'action : "J’ai donc présenté ma démission du CA et de toutes les structures (Immobilière, Business Center,…) afin de provoquer un électrochoc. Je savais et sentais que les équipes arrivaient au bout de ce qui était possible". 

Mais le contexte en a décidé autrement : "Suite aux récentes révélations et évolution de la situation, Don Dransfield m’a demandé, ainsi qu’à la direction actuellement en place, d’assurer la transition, de suspendre l’annonce de ma démission car des changements structurels étaient en cours et que la situation allait rapidement évoluer". L'évolution a effectivement été radicale, reste désormais à voir comment tout le monde se positionnera. Pierre Locht n'a pas tardé à répondre à la question en démissionnant lui aussi.

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